Titre : |
Etat des connaissances en tabacologie chez une population suivie en médecine du travail |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Christian Mostosi, Auteur |
Editeur : |
Ixelles [Belgique] : Fonds des Affections Respiratoires (FARES) asbl |
Année de publication : |
2013 |
Importance : |
39 p. |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
[DIVERS] discipline médicale, paramédicale et scientifique:médecine:médecine du travail [DIVERS] discipline médicale, paramédicale et scientifique:tabacologie [TABAC] prévention:santé:financement de la santé:remboursement [TABAC] prévention:stratégie:conseil minimal [TABAC] tabagisme:aspect économique:coût du tabagisme:coût pour la société
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Index. décimale : |
TA 0.3.2 Médecins et étudiants en médecine |
Résumé : |
"Résumé de l'auteur : Introduction : En Belgique, les dépenses liées aux maladies causées par le tabagisme dépassent les recettes générées par la vente des produits du tabac. Malgré une information étendue, un panel large de traitements et un remboursement partiel des consultations chez le tabacologue, le fumeur semble encore mal informé. Nous avons voulu objectiver les connaissances sur la prise en charge du sevrage. Matériel et méthode : Une enquête sur base volontaire et anonyme a été réalisée du 1er février 2012 au 30 novembre 2012 lors des consultations de Médecine du Travail dans les différents centres fixes et mobiles du CESI. Au total, 1611 questionnaires ont été recueillis et analysés. Résultats : Deux tiers des fumeurs (77%) ont déjà eu envie d'arrêter leur consommation et 92,5% d'entre eux ont déjà essayé au moins une méthode d'arrêt (notamment par arrêt seul, patchs, gommes, varénicline, bupropion et cigarette électronique). L'existence des tabacologues semble connue chez 84% des fumeurs mais seulement un tiers d'entre eux serait disposé à les consulter. Le remboursement des consultations semble connu auprès de 10% des participants et ne motiverait qu'un fumeur sur trois. Discussion : Le professionnel pourrait traiter plus efficacement les fumeurs ambivalents en étant formé à l'entretien motivationnel. Le conseil minimal pratiqué systématiquement stimulerait davantage la tentative d'arrêt. La mise en place d'un label "" Entreprise sans tabac "" devrait être encouragée. Conclusions : Le fumeur belge dispose d'outils et de moyens pour faciliter l'arrêt mais ceux-ci sont peu utilisés. Une meilleure information permettrait de faire plus facilement et plus efficacement appel aux tabacologues. " |
En ligne : |
https://drive.google.com/file/d/0B_HRCWLoe3T-Rlh5WC1CVldsUzA/view?usp=sharing&re [...] |
Format de la ressource électronique : |
PDF |
Permalink : |
https://biblio.fares.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=383 |